The Bright Sorrow est l’histoire d’une amitié.

 

Celle entre Emmanuel Picardi et Marc Weymaere. Une amitié de longue date. Jeunes, ils forment leur premier groupe : Just in Case avec Jack Thysen à la basse. Ils parcourent les clubs et festivals de blues de l’époque (dans les années 90). Ensuite, chacun trace sa route. Ils se retrouvent sur des sonorités blues et blues-rock lors d’une Jam aux Deux Ours en 2022. Les yeux pétillent, les têtes balancent et les riffs fusent ! C’est reparti : The Bright Sorrow Blues Band nait ! Des reprises, d’abord : Blind Willie Johnson, C. Singleton, Albert King, B.B King, Don Nix, Sonny & Brownie, R.L. Burnside, Big Bill Broonzy, mais aussi Cream, bien sûr, Jimi Hendrix - surtout - et Robben Ford. Ensuite, Emmanuel apporte quelques-unes de ses compositions. Le groupe devient :

 

Emmanuel Picardi & The Bright Sorrow !

 

Pourquoi The Bright Sorrow ? Ce nom résume à lui seul ce que signifie le Blues et ce qu’il doit exprimer pour les membres du band : une tension permanente entre la lumière et la joie d’un côté - The Bright - et la tristesse de l’autre - Sorrow, sans jamais savoir définitivement vers quel côté l’on penche vraiment.

 

C’est à un bassiste bien connu du milieu du Blues que Emmanuel et Marc ont fait appel pour donner au band les fondations les plus solides qui soient : un certain René Stock. Pas mal de concerts en power-trio. Mais à l’occasion de l’enregistrement de l’album (qui sortira bientôt), Xavier Bouillon rejoint l’équipe pour donner de la profondeur dans les harmonies, à la fois aérée et ciselée.